« Il est né le 14 septembre 1974 à 8h du matin par 15°30 de latitude nord et 65° de longitude ouest, ce qui situait son berceau sur une petite île au large des côtes honduriennes. »
J’ignore pour quelle raison, mais au vu de mon cahier de lecture, je n’ai pas franchement été bavarde concernant ce Lévy. Mis à part le fait que je l’ai lu en moins de 24h. Rien de très anormal si vous voulez mon avis.
Je vais donc profiter de ma légère amnésie pour donnez mon avis global concernant cet auteur. Quoique, réflexion faite, il s’agit d’un des auteurs sur lequel je suis le plus mitigée. En effet, lorsque je me retrouve avec l’un de ses romans, je sais d’avance que ce sera quitte ou double : je vais adorer de bout en bout, ou je serai juste déçue. J’exagère un peu, il y a parfois des justes milieux, comme pour Où es-tu?.
Marc Lévy réussit à chaque fois à nous plonger dans ses intrigues, qu’elles nous plaisent ou non, et surtout, ce pourquoi je n’hésite jamais à retourner vers cet auteur, c’est qu’il aborde systématiquement un nouveau thème passionnant. Ici en l’occurrence (et si ma mémoire ne me joue pas trop de tour), on en apprend sur les pays équatoriaux à la merci des caprices climatiques.
« En cette même nuit, à quelques milliers de kilomètres de là, « de l’autre côté du monde », dans le bar d’un aéroport, un barman mexicain qui finissait son service passait un dernier coup d’éponge sur une table accolée à la vitre. »
• Ma note : 12/20 •